Environnement

Une grainothèque à la Ferme Vernaelde

Le principe de la grainothèque est basé sur le troc : vous venez prendre des graines… en échange de celles que vous apportez ! Vous pouvez prendre des graines au moment où vous en avez besoin et vous engager moralement à en rapporter quand vous en aurez à partager après votre récolte.

Cependant chacun d’entre vous doit s’engager à ne prendre que le nombre de graines que vous pouvez cultiver et à en déposer d’autres le temps venu. Des sachets vous permettront de prendre la quantité dont vous avez besoin.

 

 

2022-09-30T15:49:14+02:0030 septembre, 2022|Catégories : Environnement, Nouveauté|Mots-clés : , , , , , , , , , |

La ville vous prête une caméra thermique

Vous souhaitez repérer les endroits de déperdition dans votre logement ? La ville vous prête une caméra thermique.

En cette période légitime de préoccupation par rapport à la consommation d’énergie, la ville vous prête une caméra thermique qui permet d’identifier avec précision, dans votre logement, les défauts d’isolation (tassements d’isolants, problèmes d’étanchéité…). Avant de rénover, pensez à définir précisément votre projet ! La caméra thermique vous sera prêtée pour 48h en échange d’un chèque de caution.

À noter que la ville a aussi instauré une prime (cumulable avec celle des autres organismes) pour l’installation de panneaux photovoltaïques (éligible aussi en cas d’autoconsommation).

Renseignements et modalités de réservation :
Pôle Environnement Développement Durable
03 28 24 15 41

Face à la crise de l’énergie, la ville réagit

Monsieur le Maire et l’équipe municipale ont déjà mené de nombreuses actions par le passé pour trouver des pistes d’économies (sans jamais toucher aux services proposés aux habitants) lors de la grave situation financière (quasi faillite) découverte en 2008 et héritée de l’ancienne équipe municipale. Aujourd’hui, c’est plus loin encore qu’il faut aller dans le domaine précis de la sobriété énergétique du fait de la conjoncture nationale.

La municipalité met en place des actions  pour faire face à la crise énergétique :

  • Les panneaux lumineux sont éteints la nuit.
  • Le recours au papier est limité dans les services municipaux (le prix de la tonne de papier est passé de 500 à 800 euros).
  • Des économies d’énergie sont réalisées en effectuant des travaux dans les bâtiments, notamment les écoles.
  • L’utilisation des chaufferies est optimisée dans les salles des bâtiments communaux.
  • Les éclairages et les chauffages sont mis en marche en optimisant les temps d’utilisation des bâtiments sportifs.
  • Les systèmes de ventilation sont optimisés en ne démarrant pas trop tôt.
  • Des détecteurs de présence sont mis en place dans nombre d’escaliers et de toilettes des bâtiments pour éviter des éclairages en continu.
  • Un plan pluriannuel de changement des gros équipements (fours dans les cantines, lave-linge…) permet d’acquérir des appareils moins énergivores.
  • L’éclairage public ne sera pas éteint la nuit. La ville a fait le choix de moduler son intensité plutôt que de le couper. Il n’est pas nécessaire d’avoir le même niveau d’éclairage à 20 et à 4h du matin.

En effet, l’éclairage public est un élément de tranquillité publique et de lutte contre l’insécurité. La municipalité va donc augmenter le nombre de variateurs pour équiper encore plus de candélabres qu’aujourd’hui.

 

 

Le sport, la planète et les enfants

Benjamin Cattiau, membre de l’Association Uni-Vert Sport, a effectué un exploit sportif : 12 marathons en 13 jours. L’objectif : une éco-aventure dans la région pendant laquelle il a ramassé des déchets et a sensibilisé les enfants au « sport, planète, santé » dans les centres de loisirs.

Barbara Bailleul aide à la protection des animaux

Barbara Bailleul, conseillère départementale, aide la Ligue de protection des animaux et le centre de soins de la faune sauvage

Notre conseillère départementale et adjointe au cadre de vie et à la protection animale s’est engagée sur ses deniers personnels à aider financièrement le centre de soins de la faune sauvage du littoral. Notamment, en parrainant un phoque afin d’aider aux soins et à l’alimentation durant le temps de sa réhabilitation dans la structure pour pouvoir ensuite le relâcher en milieu naturel.

Un bel engagement à souligner !

 

 

Une ville engagée pour l’environnement et la propreté

La municipalité a encore une fois un temps d’avance grâce à l’installation de mobiliers urbains innovants déjà présents sur cinq points très fréquentés de la ville et qui remplacent les cendriers de rue basiques afin de mieux gérer les zones fumeurs.

Coudekerque-Branche s’est dotée de cinq « cy-clope », des cendriers de rue innovants. Grâce à ces derniers, les mégots sont utilisés pour créer des combustibles : le filtre servira de substitut au bois et le reste du mégot sera recyclé. Ces « cy-clope » sont placés à proximité des lieux très fréquentés notamment l’Espace Jean Vilar, autour de l’Hôtel de Ville, à côté de la médiathèque Aragon ou encore près de la maternelle Jacques-Prévert et de l’école Maurice-Million.

Temps d’avance : 1ère commune de l’agglomération à s’être équipée il y a 1 an et demi

 

 

Coudekerque-Branche, engagée pour la nature et le climat

L’agglomération dunkerquoise, qui compte des Villes natures comme Coudekerque-Branche, a été choisie par l’Europe comme étant parmi les plus soucieuses du climat.

Coudekerque-Branche, qui avait déjà accueilli en 2010 de nombreuses délégations européennes quant à sa politique de retour de la nature en ville, de lutte pour la biodiversité ou encore de l’anticipation pour la non-utilisation des produits phytosanitaires, ne peut que se réjouir de jouer un rôle dans ce programme d’actions lié à la transition écologique.

 

 

Le parc du Fort Louis à l’état sauvage à l’arrière et très bien entretenu à l’avant : pourquoi ?

Privilégier la biodiversité

La ville de Coudekerque-Branche favorise le fauchage tardif à l’arrière du parc pour permettre la reproduction des insectes et des petits animaux. De la même manière, il est largement préconisé par les spécialistes de la biodiversité de ne pas toucher aux haies avant fin juillet pour favoriser les nids.

Pour réussir ce pari de retour des espèces (et ça fonctionne puisque par exemple, depuis deux ans, les grenouilles et têtards, qui avaient complètement disparu, reviennent dans les plans d’eau et mares du parc), la ville a choisi volontairement de laisser plus de retour de la nature à l’arrière du parc.

C’est un choix responsable afin de préserver notre territoire.

 

 

Le dernier kilomètre : le service de livraison socialement responsable

Afin de limiter la circulation des poids lourds en centre-ville, y favoriser la piétonisation et fluidifier la circulation, les Papillons Blancs ont développé un service socialement responsable de livraison de colis dit du « Dernier Kilomètre » en mobilité douce et inclusive.

À l’entrée de la ville, les colis sont déchargés des poids lourds, reconditionnés, puis re-chargés et transportés dans des petits véhicules électriques, par des personnes en situation de handicap.

 

 

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