anti-bruit

La ville s’équipe d’un radar anti bruit

La ville s’est équipée d’un radar anti-bruit qui a pour objectif de limiter le bruit lié aux pics de vitesse, aux rodéos et aux pots d’échappement trafiqués. Le seuil du capteur oscille entre 85 et 90 décibels. Au-delà, une oreille rouge s’affiche, indiquant que le véhicule fait trop de bruit.

Le radar est en service sur les grands axes (déplacé chaque semaine) comme la rue Hoche ou l’avenue Jean-Baptiste Lebas. En parallèle, la police municipale effectue des contrôles afin de prévenir et de sensibiliser les conducteurs de véhicules trop bruyants.

À noter que la police municipale de Coudekerque et ses innovations (poste mobile, radar mesurant le bruit) ont été mises a l’honneur sur les ondes internationales au travers d’un reportage radio sur RFI.

Mur anti-bruit, c’est au tour de Coudekerque-Branche

Alors que le projet de mur anti-bruit semblait définitivement oublié il y a 10 ans , Monsieur le Maire a été le premier à se mobiliser à tous les échelons pour obtenir la relance de ce projet. Une carte du bruit et de ses nuisances a vu le jour, il a fallu ensuite mettre en place un plan de prévention du bruit qui a pris plusieurs années et ensuite réussir à le financer.

Longtemps, l’État (l’A16 n’est pas une autoroute payante et donc gérée par les services de l’État) qui s’était engagé, n’a pas pu financer le projet. La solution est venue de la Communauté urbaine puisque le Président, Patrice Vergriete, a entendu les arguments du Maire et a décidé de participer au co-financement du mur à l’échelle du territoire.

Ainsi, après la première phase qui se construit actuellement à proximité de Petite-Synthe, les deux portions prévues pour Coudekerque-Branche seront réalisées dès 2023 et viendra ensuite la troisième étape vers l’est de l’agglomération.

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