cantines

Face à la crise de l’énergie, la ville réagit

Monsieur le Maire et l’équipe municipale ont déjà mené de nombreuses actions par le passé pour trouver des pistes d’économies (sans jamais toucher aux services proposés aux habitants) lors de la grave situation financière (quasi faillite) découverte en 2008 et héritée de l’ancienne équipe municipale. Aujourd’hui, c’est plus loin encore qu’il faut aller dans le domaine précis de la sobriété énergétique du fait de la conjoncture nationale.

La municipalité met en place des actions  pour faire face à la crise énergétique :

  • Les panneaux lumineux sont éteints la nuit.
  • Le recours au papier est limité dans les services municipaux (le prix de la tonne de papier est passé de 500 à 800 euros).
  • Des économies d’énergie sont réalisées en effectuant des travaux dans les bâtiments, notamment les écoles.
  • L’utilisation des chaufferies est optimisée dans les salles des bâtiments communaux.
  • Les éclairages et les chauffages sont mis en marche en optimisant les temps d’utilisation des bâtiments sportifs.
  • Les systèmes de ventilation sont optimisés en ne démarrant pas trop tôt.
  • Des détecteurs de présence sont mis en place dans nombre d’escaliers et de toilettes des bâtiments pour éviter des éclairages en continu.
  • Un plan pluriannuel de changement des gros équipements (fours dans les cantines, lave-linge…) permet d’acquérir des appareils moins énergivores.
  • L’éclairage public ne sera pas éteint la nuit. La ville a fait le choix de moduler son intensité plutôt que de le couper. Il n’est pas nécessaire d’avoir le même niveau d’éclairage à 20 et à 4h du matin.

En effet, l’éclairage public est un élément de tranquillité publique et de lutte contre l’insécurité. La municipalité va donc augmenter le nombre de variateurs pour équiper encore plus de candélabres qu’aujourd’hui.

 

 

Ma cantine sans plastique

Face à l’inquiétude grandissante des parents quant aux barquettes en plastique, et aux soupçons par rapport aux perturbateurs endocriniens susceptibles de toucher les enfants, la ville de Coudekerque-Branche poursuit son combat pour la bonne nutrition en visant l’objectif zéro plastique dans les cantines.

Toujours un coud’avance
Depuis déjà plusieurs années, la ville est pionnière dans la réduction de l’utilisation du plastique pour des raisons de santé. Elle a déjà fait changer tous les biberons en plastique utilisés dans les crèches par des biberons en verre. Après avoir passé les cantines de la ville en 100 % circuit court et fabrication locale en favorisant le bio, la ville poursuit ses efforts pour que les enfants grandissent en bonne santé en remplaçant les barquettes en plastique par des barquettes en inox. Coudekerque-Branche a décidé d’anticiper une des dispositions de la loi Agriculture et alimentation qui impose cette interdiction au plus tard au 1er janvier 2025, de la crèche à l’université, pour les collectivités de plus de 2 000 habitants.

Un principe de précaution visant à protéger la santé des enfants

Compte tenu de leurs effets sur la santé, certains composés du plastique, dont le fameux bisphénol A (BPA), sont interdits en France, car reconnus comme des « perturbateurs endocriniens ». Ces derniers sont des substances chimiques accusées de contaminer et de perturber le système hormonal humain. Elles sont scientifiquement associées à l’épidémie de cancers hormonodépendants (comme le cancer du sein), à l’augmentation des cas d’infertilité et de puberté précoce ainsi qu’à la recrudescence des troubles métaboliques, comme le diabète de type 2 ou l’obésité. Mais ces interdictions ne sont pas suffisantes parce qu’en procédant à des analyses, on trouve encore du BPA dans certains contenants en plastique.

2019-02-26T09:49:36+01:0026 février, 2019|Catégories : Divers|Mots-clés : , , , , , , , , , |

Défense du pouvoir d’achat des Coudekerquois

Les manifestations récentes à l’échelle nationale et les hausses constatées dans différents domaines de la vie quotidienne (énergie, carburant par exemple) ont entraîné la décision du Conseil Municipal de ne pas indexer les tarifs communaux sur l’évolution des prix en 2019.

Aucune augmentation des tarifs communaux pour 2019

En 2019, il y aura un gel des tarifs communaux et donc aucune augmentation, afin de préserver le pouvoir d’achat de tous les Coudekerquois.

La piscine sera toujours parmi les moins chères du Département du Nord, les tarifs des cantines malgré le passage au 100 % bio et à la fabrication locale n’augmenteront pas, tout comme la restauration à domicile pour les personnes âgées, les centres de loisirs, le périscolaire, les crèches, l’école de musique, les Beaux-Arts : avec au total de plus de 54 activités. Une décision qui montre la considération de la ville envers les habitants, dans cette période où le pouvoir d’achat est une question sensible pour nombre d’entre eux.

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