habitants

Mon parti : c’est Coudekerque-Branche

À partir de septembre, quelques mois avant les élections municipales, la réglementation interdit aux maires d’écrire un édito. Ces quelques lignes sont donc les dernières avant quelques mois.

L’occasion m’est ainsi donnée de m’adresser directement à chacun et chacune d’entre vous pour vous indiquer que les fondamentaux n’ont pas varié depuis 11 ans que vous m’avez témoigné confiance à la tête de votre commune.

“Quel que soit le dossier traité, finances, écoles, grands chantiers ou organisation des animations de l’été, les fondamentaux restent les mêmes : le respect de la parole donnée, l’écoute des habitants, la cohérence, l’action au quotidien.”

En effet, lorsque l’on est Maire de sa ville natale, on gomme tout esprit partisan pour travailler dans l’intérêt du bien commun de tous. Je n’ai qu’un seul parti : c’est Coudekerque-Branche.

Les nombreuses animations de l’été mais aussi quelques grands chantiers qui ont désormais démarré, démontrent, si besoin était, un concentré d’actions pour cette fin d’année 2019 qui va permettre d’améliorer encore notre ville.

“La bonne santé financière retrouvée de notre commune va nous permettre de tenir 100 % de nos engagements. C’est pour moi une vraie fierté.”

Les beaux projets se poursuivent, la ville continue de se transformer et surtout, elle reste une ville bienveillante pour tous.

Je vous souhaite à tous un bel été dans notre commune, où j’aurai le plaisir de vous rencontrer.

À nous de bâtir une ville toujours meilleure !

“J’ai une foi inébranlable en Coudekerque-Branche et en son avenir”

Votre Maire

 

 

La ville récompensée par le label Ville prudente

Le label national « Ville prudente » a été décerné à la ville de Coudekerque-Branche pour récompenser ses efforts en matière de sécurité routière. La commune est la première du littoral à obtenir cette distinction valorisant les actions menées pour assurer la tranquillité publique des habitants.

Des aménagements routiers dans tous les quartiers

La ville de Coudekerque-Branche a multiplié les efforts en termes d’aménagements routiers ces dernières années et cela est visible dans tous les quartiers. Des zones 30, des ralentisseurs, des pistes cyclables, des panneaux clignotants, de nouveaux candélabres, des barrières et des plots aux entrées des écoles… toutes ces infrastructures sont réalisées en concertation avec les habitants qui sont les premiers à connaître les besoins de sécurisation de leurs routes. La ville est à l’écoute des riverains lors des réunions publiques ou des référents des Voisins Vigilants qui remontent les informations à la mairie. A chaque rénovation de voirie, la sécurité routière est intégrée dans le but de toujours améliorer la tranquillité publique.

 

Et les efforts continuent…

De nouveaux dispositifs vont être installés en ville, comme par exemple :

  • Des ralentisseurs sur la deuxième partie de la rue des Forts.
  • Le passage en zone 30 avec marquage et enduit projeté au sol à l’entrée du lotissement du Grand Steendam et de la ZAC du tennis.
  • L’installation de plusieurs miroirs de circulation dans les rues suivantes : Elus de Nanterre/ Ghesquière, Martyrs de la Résistance/ Ghesquière, Morel/ Hugo, Rabelais/ Vauban, Béranger/ Jules Guesde, du développement/ Béranger.
  • La pose de ralentisseurs rues Gabriel Péri et Gustave Fontaine.
  • L’implantation d’un radar pédagogique supplémentaire.

 

Des actions de sensibilisation auprès des Coudekerquois

La ville, en partenariat avec les agents de la police municipale, mène de nombreuses actions de sensibilisation auprès de la population :

  • Des stages d’initiation à la pratique du vélo ou du scooter dans les écoles et les collèges en partenariat avec l’Adasard.
  • Une action de prévention auprès des élèves de CM1 pour obtenir le permis « A pied, c’est moi qui conduis ».
  • Une animation sous forme de jeu pour faire repasser le code aux seniors.
  • Un contrôle des véhicules (pneus, pollution et éclairage) gratuit proposé en fin d’année par la police municipale.

 

 

Monsieur le Président : Quand arrête-t-on la machine à broyer la proximité ?

Voilà en substance, le message que j’ai essayé de faire passer au Président de la République lors de mon intervention, à l’Elysée, invité en tant que Maire d’un chef-lieu de canton de la Région Hauts-de-France.

En effet, je m’étais engagé à porter au plus haut sommet de l’Etat les revendications coudekerquoises émanant du débat national et j’ai pu tenir cet engagement.

Trois sujets importants à mes yeux pour l’avenir de notre commune ont été évoqués lors de ma prise de parole.

Tout d’abord, j’ai abordé la question de la proximité et l’importance de donner aux communes les moyens d’agir, mais aussi d’arrêter la réduction des services publics et des services aux usagers.

Ce qui a permis d’évoquer pêle-mêle les baisses de dotations, les suppressions des moyens de l’Etat et les transferts de compétences vers les collectivités sans leur attribuer les moyens nécessaires.

“Je crois, au travers des propos énoncés, avoir tenu mon rôle, qui est, d’abord, celui d’être votre représentant.”

En fervent défenseur de la démocratie participative, j’ai rappelé que ce grand moment, libre de parole, peut révéler une issue positive pour nos concitoyens, à condition que les mots soient suivis d’actes.

Ce n’est qu’avec cette philosophie que la parole publique garde tout son sens auprès des habitants.

“Enfin, fort de mon expérience personnelle de Maire de ma ville natale, depuis 2008,j’ai insisté sur le fait qu’en 10 ans les gens n’ont pas changé, ce qui a évolué c’est la difficulté et la cherté de la vie autour d’eux.”

A l’échelle locale, nous essayons de préserver un pouvoir de vivre.

Au tour de l’Etat de garantir un pouvoir d’achat.

Comme vous le savez, peu adepte des grands rassemblements, j’ai accepté cette invitation de la Présidence de la République à condition de ne pas y faire de la figuration.

À l’heure où j’écris ces lignes et suite au terrible événement de Notre Dame de Paris, les réponses à ces questions ne sont pas encore rendues. Je souhaite ardemment avoir été entendu pour vous, pour notre quotidien.

 

Votre Maire

Ateliers informatiques pour tous

La ville de Coudekerque-Branche propose des ateliers informatiques dans les maisons de quartiers de la ville. Ce service est gratuit.

Centre social Josette Bulté
Mardi :
* 8h45-10h30
* 10h45-12h15
* 14h15-16h sur rdv

Mercredi :
* 8h45–10h30
* 10h45-12h15
* 14h15-16h00
* 16h15-17h45

Jeudi :
* 8h45–10h30
* 10h45-12h15
* 14h15-16h00
* 16h15-17h45

Samedi :
* 8h45–10h30
* 10h45-12h15

Renseignements
Centre Social Communal Josette Bulté – Tél : 03 28 63 01 90

Maison de quartier du Vieux Coudekerque
Chaque vendredi dans votre maison de quartier :

* 8h45–10h30
* 10h45-12h15
* 14h15-16h00
* 16h15-17h45

Renseignements
Maison de quartier du Vieux Coudekerque – Tél : 03 28 28 95 20

 

Ma cantine sans plastique

Face à l’inquiétude grandissante des parents quant aux barquettes en plastique, et aux soupçons par rapport aux perturbateurs endocriniens susceptibles de toucher les enfants, la ville de Coudekerque-Branche poursuit son combat pour la bonne nutrition en visant l’objectif zéro plastique dans les cantines.

Toujours un coud’avance
Depuis déjà plusieurs années, la ville est pionnière dans la réduction de l’utilisation du plastique pour des raisons de santé. Elle a déjà fait changer tous les biberons en plastique utilisés dans les crèches par des biberons en verre. Après avoir passé les cantines de la ville en 100 % circuit court et fabrication locale en favorisant le bio, la ville poursuit ses efforts pour que les enfants grandissent en bonne santé en remplaçant les barquettes en plastique par des barquettes en inox. Coudekerque-Branche a décidé d’anticiper une des dispositions de la loi Agriculture et alimentation qui impose cette interdiction au plus tard au 1er janvier 2025, de la crèche à l’université, pour les collectivités de plus de 2 000 habitants.

Un principe de précaution visant à protéger la santé des enfants

Compte tenu de leurs effets sur la santé, certains composés du plastique, dont le fameux bisphénol A (BPA), sont interdits en France, car reconnus comme des « perturbateurs endocriniens ». Ces derniers sont des substances chimiques accusées de contaminer et de perturber le système hormonal humain. Elles sont scientifiquement associées à l’épidémie de cancers hormonodépendants (comme le cancer du sein), à l’augmentation des cas d’infertilité et de puberté précoce ainsi qu’à la recrudescence des troubles métaboliques, comme le diabète de type 2 ou l’obésité. Mais ces interdictions ne sont pas suffisantes parce qu’en procédant à des analyses, on trouve encore du BPA dans certains contenants en plastique.

2019-02-26T09:49:36+01:0026 février, 2019|Catégories : Divers|Mots-clés : , , , , , , , , , |

Acquérir les bons réflexes dès le plus jeune âge

La police municipale mène des actions afin de sensibiliser les jeunes à la prévention routière. Selon leur âge, ils sont initiés à la pratique du vélo ou à la pratique du scooter. Un objectif : rappeler qu’au niveau de la sécurité routière, nous sommes tous responsables.

La police municipale joue son rôle de prévention
L’action menée par la police municipale, en partenariat avec l’Adasard, a pour ambition de sensibiliser les jeunes aux risques présents sur la route. Que ce soit à vélo ou à scooter, des règles existent pour que chacun soit en sécurité. L’opération de prévention routière sert à rappeler ces règles de manière théorique, puis des parcours à vélo ou des simulateurs de scooter complètent la sensibilisation.

Les autres actions de sensibilisation auprès de nos jeunes
Parce que la sécurité sur la route et les trottoirs doit être une action sans relâche auprès des jeunes, pas toujours conscients des dangers de la route, la police municipale et la ville interviennent aussi auprès des élèves de CM1 sur une action de prévention qui permet à ces jeunes d’obtenir un permis piéton : « A pied, c’est moi qui conduis ». Les élèves de CM2 sont eux sensibilisés aux dangers liés à l’utilisation d’internet et reçoivent aussi un permis.

Grand débat national : le 6 février à Coudekerque-Branche

A l’initiative du Président de la République, le Gouvernement a souhaité mettre en place un grand débat national permettant à tous de débattre de questions essentielles pour les Français.

Toujours sensible à ce que la population puisse exprimer son opinion et être entendue, la ville de Coudekerque-Branche proposera ce débat le mercredi 6 février, à 18h30, à l’espace du Maître de Poste.

Vous aurez la parole !

Tout sera consigné et remonté intégralement au sommet de l’état. Un cahier de doléances est aussi présent à la mairie (au Secrétariat de Monsieur le Maire) et ouvert à tous les habitants depuis le mois de décembre. Ce cahier sera remonté au Président et au Gouvernement à l’issue de la réunion du 6 février.

Écouter c’est bien, mais entendre c’est mieux !

Le Président de la République, dans sa lettre aux Français, a la volonté d’organiser un grand débat national et il demande aux Maires, qu’il a pourtant ignorés depuis le début de son mandat, d’être les chevilles ouvrières de l’organisation de cette concertation.

Néanmoins, connaissant bien la démocratie participative et la concertation, puisque nous la pratiquons de manière active depuis 10 ans, je mets en garde le plus haut sommet de l’Etat. En effet, ce grand débat national ne doit pas être une coquille vide mais doit automatiquement apporter des réponses, sinon la déception de cet exercice va entraîner quelque chose d’aussi fort, voire plus, que ce qui s’est passé ce dernier mois.

Si l’une des principales demandes de la mobilisation citoyenne après le pouvoir d’achat est d’être écouté, c’est surtout et avant tout, parce que les habitants de notre pays ont l’impression d’un manque de considération de leurs gouvernants.

“À Coudekerque-Branche vous serez toujours considérés, j’y veille.”

Je tiens à vous rappeler qu’à Coudekerque-Branche vous serez toujours considérés, j’y veille, et si le dé-bat n’est pas trop cadré, il sera peut-être un atout pour faire avancer les choses. Le premier de cordée si cher au gouvernement n’est pas bête et, bien sûr, l’ouvrier, l’employé, l’artisan, la mère de famille, le commerçant le retraité, l’enseignant, le demandeur d’emploi… ne le sont pas non plus.

“Coudekerque-Branche organisera ce débat non pas parce que c’est une demande de l’Etat, mais bien une demande des Français qui,par leur mobilisation depuis plusieurs semaines, ont réussi à obtenir cette écoute.”

En revanche, ils ne disent pas la même chose, et c’est là toute l’importance d’écouter mais surtout d’ENTENDRE.

“Et c’est là toute l’importance d’écouter mais surtout d’ENTENDRE.”

Nous sommes, élus locaux, bien placés pour affronter avec les habitants, le monde réel, le quotidien et c’est pour cela qu’il nous faut aider aux débats et permettre à nos concitoyens d’être entendus.

Toujours à vos côtés, à votre écoute et à vous entendre.

Votre Maire

 

Développement du dispositif de vidéoprotection

La municipalité a pour mission de veiller à la tranquillité publique de ses habitants avec la présence de la police municipale mais aussi par l’installation de caméras de vidéoprotection. Lancé il y a 3 ans, le programme de vidéoprotection a permis de sécuriser et de protéger tous les quartiers.

Caméras supplémentaires
Le dispositif de vidéoprotection va être renforcé en 2019 avec le déploiement de 17 nouvelles caméras. Retrouvez ci-dessous la liste des lieux qui ont été retenus et dans lesquels les caméras
vont être installées :

  • le mini-golf du Fort Louis,
  • le parking rue Franklin,
  • le rond-point de la tortue rue de l’Ancienne Mairie,
  • le square Fournier rue Waldeck Rousseau,
  • entre la rue Waldeck Rousseau et le boulevard Vauban,
  • la rue des Platanes,
  • la rue de Provence,
  • le square Raymond Vanoosten,
  • les rues Louis Blanc, Michelet et Saint Venant,
  • le square des marronniers (2 caméras y seront installées),
  • la rue Victor Hugo,
  • autour du secteur Sainte Thérèse et de l’éco quartier.

Un total de 57 caméras
Une fois l’installation de ces 17 caméras durant l’année 2019, le dispositif de vidéoprotection sera composé d’un total de 57 machines auxquelles il faut ajouter la caméra mobile mise en place en 2018. Un programme qui couvre l’ensemble des quartiers et qui permet de veiller à la sécurité de tous les Coudekerquois.

Défense du pouvoir d’achat des Coudekerquois

Les manifestations récentes à l’échelle nationale et les hausses constatées dans différents domaines de la vie quotidienne (énergie, carburant par exemple) ont entraîné la décision du Conseil Municipal de ne pas indexer les tarifs communaux sur l’évolution des prix en 2019.

Aucune augmentation des tarifs communaux pour 2019

En 2019, il y aura un gel des tarifs communaux et donc aucune augmentation, afin de préserver le pouvoir d’achat de tous les Coudekerquois.

La piscine sera toujours parmi les moins chères du Département du Nord, les tarifs des cantines malgré le passage au 100 % bio et à la fabrication locale n’augmenteront pas, tout comme la restauration à domicile pour les personnes âgées, les centres de loisirs, le périscolaire, les crèches, l’école de musique, les Beaux-Arts : avec au total de plus de 54 activités. Une décision qui montre la considération de la ville envers les habitants, dans cette période où le pouvoir d’achat est une question sensible pour nombre d’entre eux.

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